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Il n’est pas inconcevable de trouver de la beauté dans ces cités modernes. Tout y est vaste, esplanades,perspectives et panoramas. Une impression de force se dégage de ces tours d’acier,de béton ou de verre…même si le regard s’affole ,si les lignes bougent et basculent au pied de cet infini vertical. Boris Foscolo nous fait partager ces sensations, son œil de peintre anime ces perspectives en jouant avec les lignes et les formes de l’espace géométrique à trois dimensions.Il crée l’espace plastique du peintre par la « distorsion et le basculement des perspectives » et surtout par l’affirmation de sa subjectivité d’artiste qui nous révèle la confusion de ses sentiments partagés entre l’admiration pour ces prouesses architecturales et la répulsion pour le style de vie que ces mégalopoles engendrent.